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La Convention internationale des droits de l'enfant soutient le droit de l'enfant à vivre en famille, si possible avec ses deux parents. La loi de 1998 de lutte contre les exclusions préconise
d'éviter les séparations des membres de la famille.
Lire la contribution d'Aire de Famille
Le Mouvement Atd Quart Monde accorde une importance toute particulière à l'article 9 qui affirme les liens inaliénables entre l'enfant et sa famille, même dans les situations où, pour « l'intérêt
supérieur de l'enfant », un éloignement ou une séparation s'avère nécessaire.
Lire la contribution d'ATD Quart Monde
La Convention internationale des droits de l'enfant affirme dans son préambule que « l'enfant, pour l'épanouissement harmonieux de sa personnalité, doit grandir dans le milieu familial, dans un climat de bonheur,
d'amour et de compréhension ».
Lire la contribution de SOS Villages d'enfant
Les objectifs de l'Afirem sont en concordance avec l'article 19 de la CIDE. En effet, il est surprenant de constater que contrairement aux actes de violence exercés entre adultes qui ont
toujours été sanctionnés dans toutes les sociétés, les violences à l'égard des enfants, exercées par les adultes eux-mêmes, qu'ils aient ou non autorité sur l'enfant, étaient soit niées, soit tolérées.
Lire la contribution de l'AFIREM
Les enfants qui vivent le drame de la perte d’un parent sont confrontés à un bouleversement de leur vie. Ils sont 800 000 jeunes de moins de 25 ans en France à connaître cette situation soit
en moyenne un enfant par classe.
Lire la contribution de la Fondation OCIRP
Porté par les parents et les familles de son mouvement depuis plus de 50 ans, l'Unapei défend ce droit fondamental et universel qu'est le droit à l'éducation. Il a d'ailleurs pour corollaires d'autres droits essentiels
tels que l'accès à l'autonomie, à l'expression de ses idées et à la prise de décision, l'accès à la citoyenneté, l'accès à la formation, à la préparation à l'emploi et à la vie professionnelle.
Lire la contribution de l'Unapei
En France, tous les enfants âgés de 3 à 18 ans ont strictement les mêmes droits à l'instruction, quelle que soit leurs situations (difficultés, maladies ou handicaps éventuels) ou celle de leurs
parents (sans domicile, précarité, nationalité étrangère, régularité ou non du séjour en France...). En effet, le principe républicain du droit à l'éducation et de l'obligation scolaire est instauré, en France, depuis la Loi
Jules Ferry de 1882. Or, celui-ci est aujourd'hui régulièrement bafoué pour les enfants étrangers et, en particulier, pour les enfants roms de Roumanie.
Lire la contribution de Hors la rue
L'article 12 de la CIDE pose la question de la reconnaissance de l'enfant par l'adulte dans sa capacité à s'exprimer et à être pris au sérieux. Mais cette expression "capable de discernement" est
source de multiples enjeux et de confusions
Lire la contribution de l'Afpssu
Aujourd'hui, des enfants âgés de moins de dix-huit ans sans représentant légal à leurs côtés sont présents dans les 27 États membres. On les appelle "mineurs isolés étrangers", "enfants séparés" ou "mineurs non
accompagnés". Certains de ces jeunes ont fui des conflits et persécutions dont ils étaient victimes dans leur pays d'origine, et entrent donc dans le cadre du droit d'asile consacré par la Convention de Genève de 1951
et par la Convention internationale des droits de l'enfant en son article 22.
Lire la contribution de France Terre d'Asile
epuis plus de 20 ans, Tostan travaille dans le domaine de l'éducation de base pour adultes et adolescents en Afrique. En créant une atmosphère de confiance dans les communautésles conditions d'une réflexion et d'une remise
en question des normes sociales à l'origine de pratiques traditionnelles néfastes.
Lire la contribution de Tostan France